La marque de luxe de Nissan, dévoile au Salon
Automobile de Paris 2012, son crossover ultime, l’Infiniti FX Vettel. Ce
monstre de 420 chevaux, a été créé en collaboration entre le champion
du monde de Formule 1, Sebastian Vettel et Shiro Nakamura, patron du
design Infiniti.
Un cœur généreux…
En utilisant la base du FX50 puissant de 390 chevaux, les ingénieurs motoriste d’Infiniti n’ont pas eux trop de difficultés pour atteindre les 420 chevaux, permettant d’atteindre les 300 km/h fixé par le pilote de Formule 1 Sebastian Vettel.
En utilisant la base du FX50 puissant de 390 chevaux, les ingénieurs motoriste d’Infiniti n’ont pas eux trop de difficultés pour atteindre les 420 chevaux, permettant d’atteindre les 300 km/h fixé par le pilote de Formule 1 Sebastian Vettel.
La préparation moteur…
La première tâche consistait à débarrasser le véhicule de son rupteur électronique qui bloque à 250 km/h la vitesse de pointe de tous les autres FX. En configuration série avec le V8 VVL délivrant 390 ch à 6500 tr/min, la voiture a déjà du souffle au-delà de sa vitesse maxi artificielle, mais il fallait quand même dénicher des chevaux supplémentaires pour atteindre 300 km/h. Il n’a pas été nécessaire de retravailler le moteur en profondeur pour gagner les 30 chevaux qui font passer à 420 ch la puissance du FX de Sebastian Vettel. La puissance requise a été en partie libérée par un nouveau système d’échappement ; le reparamétrage du calculateur de gestion moteur a fait le reste, sans différence perceptible en termes de réactivité ou de rendement du V8. Et côté « mélodies », c’est encore mieux qu’avant.
La première tâche consistait à débarrasser le véhicule de son rupteur électronique qui bloque à 250 km/h la vitesse de pointe de tous les autres FX. En configuration série avec le V8 VVL délivrant 390 ch à 6500 tr/min, la voiture a déjà du souffle au-delà de sa vitesse maxi artificielle, mais il fallait quand même dénicher des chevaux supplémentaires pour atteindre 300 km/h. Il n’a pas été nécessaire de retravailler le moteur en profondeur pour gagner les 30 chevaux qui font passer à 420 ch la puissance du FX de Sebastian Vettel. La puissance requise a été en partie libérée par un nouveau système d’échappement ; le reparamétrage du calculateur de gestion moteur a fait le reste, sans différence perceptible en termes de réactivité ou de rendement du V8. Et côté « mélodies », c’est encore mieux qu’avant.
Vitesse atteinte…
Au gain de puissance, s’ajoute un allongement de la démultiplication finale pour taper 300 km/h sur autobahn sans effets négatifs sur le raffinement. Du fait de l’allongement de la transmission, la voiture n’arrache pas autant qu’on aurait pu l’espérer au démarrage, mais elle efface quand même le 0-100 km/h DA en 5,6 secondes, c’est-à-dire deux dixièmes de mieux que le modèle standard ; alors nul ne s’en plaindra. A commencer par Sebastian Vettel.
Au gain de puissance, s’ajoute un allongement de la démultiplication finale pour taper 300 km/h sur autobahn sans effets négatifs sur le raffinement. Du fait de l’allongement de la transmission, la voiture n’arrache pas autant qu’on aurait pu l’espérer au démarrage, mais elle efface quand même le 0-100 km/h DA en 5,6 secondes, c’est-à-dire deux dixièmes de mieux que le modèle standard ; alors nul ne s’en plaindra. A commencer par Sebastian Vettel.
Chère et très rare…
50 exemplaires seulement, dont beaucoup sont déjà affectés, vendus à partir de 126 200 euros en France - réservés à l’Europe occidentale.
50 exemplaires seulement, dont beaucoup sont déjà affectés, vendus à partir de 126 200 euros en France - réservés à l’Europe occidentale.
